dimanche 23 janvier 2011
vendredi 21 janvier 2011
Mercredi 19 et jeudi 20 janvier, retour vers Cayenne
Le départ depuis Calçoene vers Oyapoqué
Petit moment important dans la vie du TRANSALP, ses 55000 km.
Mais aussi les 20000 de la TENERE.
Une sympathique petite savane roche traversée par la piste. On en retrouve tout le long jusqu'à Oyapock.
Quelques plantouzes, ce n'était pas si riche que cela.
Et une espèce non indigène
Revoici le pont "cortado" presque réparé, les semi-remorques attelés des camions citernes repassent par dessus.
La même photo, mais dans l'autre sens,
Et l'arrivée sur Oyapoqué, où l'on passera la nuit chez Rona. On vous passera les détails sur l'étape du déjeuner au restaurant Deus provado.
Le chantier du pont qui a terriblement avancé en 10 jours...
Les motos sur la barge, avant la dernière chute.
Au final 55411 km arrivé à la VTM (Villa Tropic Moustic), soit 2100 km parcourus.
Allez vous aurez encore droit à un petit message pour la fin. On vous prépare aussi un petit topo avec les bonnes et moins bonnes adresses que l'on a trouvées.
Petit moment important dans la vie du TRANSALP, ses 55000 km.
Mais aussi les 20000 de la TENERE.
Une sympathique petite savane roche traversée par la piste. On en retrouve tout le long jusqu'à Oyapock.
Quelques plantouzes, ce n'était pas si riche que cela.
Et une espèce non indigène
Revoici le pont "cortado" presque réparé, les semi-remorques attelés des camions citernes repassent par dessus.
La même photo, mais dans l'autre sens,
Et l'arrivée sur Oyapoqué, où l'on passera la nuit chez Rona. On vous passera les détails sur l'étape du déjeuner au restaurant Deus provado.
Le chantier du pont qui a terriblement avancé en 10 jours...
Les motos sur la barge, avant la dernière chute.
Au final 55411 km arrivé à la VTM (Villa Tropic Moustic), soit 2100 km parcourus.
Allez vous aurez encore droit à un petit message pour la fin. On vous prépare aussi un petit topo avec les bonnes et moins bonnes adresses que l'on a trouvées.
mardi 18 janvier 2011
Mardi 18 janvier, Mégalithes de Calçoene
Pour aller visiter le site archéologique de Calçoene, rien de plus simple, il n'est pas ouvert au public !
Heureusement POJ nous avait donné 2/3 exemplaires du numéro d'une saison en Guyane consacré au site pour les remettre au gardien. Ensuite toujours notre amie Val, nous a rappelé qu'il nous fallait demander à sa collègue Dona Mariana une autorisation pour visiter le site... Dans un premier temps après avoir fait le tour des rues orthogonales de Macapa, on a réussi a trouver Mariana au service archéologique de l'IEPA pour récupérer notre papier.
Après il faut se rendre à Calçoene, pour trouver Léonço, dit Garafinha(petite bouteille) le gardien du site. Rien de plus simple, il suffit de le faire appeler sur la radio, par les charmantes animatrices de Calçoene FM.
Et il arrive 5 mn après l'annonce !
Ce n'est pas tout, dans ce que nous avions compris en discutant avec les gens de Calçoene, le site était à Counani, soit à plus de 70 km. Petite incompréhension avec Garafinha sur le lieu exact du rendez-vous, à sa "maison" mais à seulement 10 km de Calçoene.
Au final nous sommes arrivés là. Et c'était le bon endroit, Garafinha, nous y attendait avec son thermos de Cafézinho.
Vue du morne sur lequel est le site
Les principales roches du site.
L'oeil par lequel le soleil passe au lever et au coucher au solstice de décembre .
Garafinha et son collègue.
Et les vestiges qui ont été retrouvé pendant les fouilles des fosses mortuaires auprès des roches. Ils sont désormais exposés dans une salle de l'IEPA à Macapa.
Et un petit topo sur le site qui est donné à l'expo. Les non lusophones peuvent nous envoyer un petit message pour avoir la traduction.
Heureusement POJ nous avait donné 2/3 exemplaires du numéro d'une saison en Guyane consacré au site pour les remettre au gardien. Ensuite toujours notre amie Val, nous a rappelé qu'il nous fallait demander à sa collègue Dona Mariana une autorisation pour visiter le site... Dans un premier temps après avoir fait le tour des rues orthogonales de Macapa, on a réussi a trouver Mariana au service archéologique de l'IEPA pour récupérer notre papier.
Après il faut se rendre à Calçoene, pour trouver Léonço, dit Garafinha(petite bouteille) le gardien du site. Rien de plus simple, il suffit de le faire appeler sur la radio, par les charmantes animatrices de Calçoene FM.
Et il arrive 5 mn après l'annonce !
Ce n'est pas tout, dans ce que nous avions compris en discutant avec les gens de Calçoene, le site était à Counani, soit à plus de 70 km. Petite incompréhension avec Garafinha sur le lieu exact du rendez-vous, à sa "maison" mais à seulement 10 km de Calçoene.
Au final nous sommes arrivés là. Et c'était le bon endroit, Garafinha, nous y attendait avec son thermos de Cafézinho.
Vue du morne sur lequel est le site
Les principales roches du site.
L'oeil par lequel le soleil passe au lever et au coucher au solstice de décembre .
Garafinha et son collègue.
Et les vestiges qui ont été retrouvé pendant les fouilles des fosses mortuaires auprès des roches. Ils sont désormais exposés dans une salle de l'IEPA à Macapa.
Et un petit topo sur le site qui est donné à l'expo. Les non lusophones peuvent nous envoyer un petit message pour avoir la traduction.
Samedi 16 janvier, Macapa, meio do mundo
Celles-ci on ne pouvait pas les manquer. Le marco zero, monument marquant le passage de l'équateur à Macapa.
Dommage, on vous aurait bien fait les mêmes avec les motos, mais ils ont enlevé les deux panneaux de signalisation routière "hemisferio norte" et "hemisferio sul"
Dommage, on vous aurait bien fait les mêmes avec les motos, mais ils ont enlevé les deux panneaux de signalisation routière "hemisferio norte" et "hemisferio sul"
lundi 17 janvier 2011
Lundi 17 janvier, Calçoene et praia de Goiabal
Dans la plus grande improvisation ce lundi, on s'est retrouvé le matin, enfin du moins Seb, à traverser le Rio Calçoene qui ressemblait plus à un torrent, avec le canot créole sévèrement motorisé de notre ami laotien.
On était parti à la recherche du cimetière français sur la rive gauche, mais on n'a pas trouvé grand chose à part cela.
Une fois le soleil revenu l'après-midi, on est parti vers la Plage de Goiabal. 20 km de piste bien sympa traversant la forêt littorale, les pâtures, et d'immenses prairies inondées. Jacanas, hérons et aigrettes, spatules roses, ibis, étaient là mais ne les cherchez pas sur les photos, notre zoom ne les a pas vu.
Et au final on est arrivé sur ce hot spot amapaense, qu'est la plage de Goiabal.
En janvier c'est complétement désert, mais il faut imaginer des centaines de juillettistes macapaenses qui viennent se ruer sur la plage à la belle saison. Il y a quand même de la place, à marée basse la plage fait plus d'une quinzaine de kilomètres.
C'est immense, désertique et beau.
Ben là c'est moi tout simplement,
On était parti à la recherche du cimetière français sur la rive gauche, mais on n'a pas trouvé grand chose à part cela.
Une fois le soleil revenu l'après-midi, on est parti vers la Plage de Goiabal. 20 km de piste bien sympa traversant la forêt littorale, les pâtures, et d'immenses prairies inondées. Jacanas, hérons et aigrettes, spatules roses, ibis, étaient là mais ne les cherchez pas sur les photos, notre zoom ne les a pas vu.
Et au final on est arrivé sur ce hot spot amapaense, qu'est la plage de Goiabal.
En janvier c'est complétement désert, mais il faut imaginer des centaines de juillettistes macapaenses qui viennent se ruer sur la plage à la belle saison. Il y a quand même de la place, à marée basse la plage fait plus d'une quinzaine de kilomètres.
C'est immense, désertique et beau.
Ben là c'est moi tout simplement,
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